lundi 9 février 2009


Un après midi de bonheur, qu’espérer de plus pour une frêle jeune vieille d’être entourée de deux vieux attentionnés et d’un gentil jeune homme. Je ne suis pas sûre que les deux vieux attentionnés vont se reconnaître même si tout le monde a compris que je parlais d’André et de Fred….et pour certain ce n’est pas la peine de rire, ils pourraient se sentir concernés !!!!! Et notre charmant jeune homme n’est autre que Pierre Adrien le gentil.

Commencer par se mettre les jambes (entre autre) à l’air à l’arrivée du Mialet par 5° pour se changer : on se demande souvent qu’est ce que l’on fait là !!!

J’ai failli faire la navette en grande dégonflée frileuse car le vent était glacial et très fort. Mais comme d’hab, mes charmants compagnons m’ont entraîné sur l’eau. En plus de ça la route était coupée juste au dessus de l’arrivée, nous avons donc dû faire le tour par Saint Jean du Gard. Départ un niveau d’eau très sympathique : 40m3. Le Mialet est toujours très beau et là, les vagues étaient vraiment amusantes peut être pas pour notre jeunot qui ne trouvait pas beaucoup de vagues à surf, il faut dire que l’on n’avait pas trop envie de traîner avec la piquette aux doigts.

L’événement de la descente, je ne sais pas si vraiment il faut que je le raconte ???? mais je vais plutôt laisser votre imagination aller bon train et vous donner le départ d’une scène, une vaguelette, pour être honnête elle n’était pas nette et elle faisait un peu portefeuille mais c’était facile à zapper vu la largeur de la rivière, le dernier bateau a esquimauté à la vitesse de l’éclair si bien que s’il n’y avait pas eu un œil indiscret nous ne l’aurions pas su, alors qui cela peut être ????

Ensuite le téméraire Fred a enchainé de Gour Bleu sans même repérer alors que nous nous étions mis dans le contre pensant regarder le passage, et il est passé comme un grand maître de l’art, nous l’avons suivi comme des canetons suivent leur maman. J’ajoute que le trou était impressionnant et que sa remontée donnait la sensation d’être sur un grand huit qui retenait en haut. Même pas peur, un coup de pagaie et hop c’est passé qu’avec du plaisir.

Le reste était bien sympa, sans difficulté et par chance le vent ne s’engouffrait presque pas dans le lit de la rivière, le soleil nous faisait des clins d’œil bien réconfortant et les autochtones sur la rive qui déblayaient les arbres couchés ou qui se promenaient nous saluaient bien amicalement.

Conclusion sortie parfaite, que du bonheur. Même la navette n’a pas été trop pénible pour ceux qui sont restés sur la rive suite au grand détour à faire. Nous avons partagé du fromage et du pâté Corse allongé sur l’herbe goutant les derniers rayons de soleil, que demander de plus ???

Le LENDEMAIN:

Le Luech glacial....






1 commentaire:

Charliber a dit…

Le Luech était bien en eau, plutôt froide: Marylin s'en est rendu compte (x2!)mais a tout de même apprécié ... et Christophe se marrait tellement ;-) qu'il en a laissé partir son bateau: bien fait pour lui !

(petit compte rendu largement amplifié-déformé)